Moi j'utilise le PMK parce que le pyrogallol est déjà préparé sous forme liquide très stable. J'aurais bien essayé l'autre formule "gagnante" le Pyrocat HD mais là la pyrocatéchine se présente sous forme de poudre extrêmement volatile et toxique. Je n'ai pas envie de m'empoisonner chez moi. Il me suffit déjà que l'agitation soit une des difficultés à gérer (mon épaule blessée souffre vite), ainsi que la saleté et la pollution de mon plan de travail (= l'évier de ma cuisine) pour ne pas chercher d'autres difficultés. ce que je veux est pouvoir facilement reproduire une routine efficace et qui convient à certains négatifs que j'obtiens à la prise de vue.
Jules Biron a écrit :Pfiou, cette maîtrise de la profondeur de champ dans la 8 ! Très beaux rendus !
Merci Jules! Mais il n'y a pas beaucoup de maitrise de la PdC là-dedans, c'est le résultat obligatoire d'une mise au point très proche en voulant conserver une certaine vitesse (ça bouge vite un escargot en champ rapproché). Ici, à 20 cm, à ƒ:11, la PdC est de 1,5 cm maximum. Mais par contre je suis bien aidé car le dépoli de l'appareil est très clair et la commande sur le rail de m-a-p de test de PdC est idéalement placée.
jj_reypol a écrit :Magnifique série, Olivier !
Je suis très curieux et impatient de voir à quoi vont ressembler ces tirages tout en me demandant
si le fait de les photographier, les convertir en jpg et les poster ici permettra de se rendre compte
des qualités de ce révélateur…
On verra bien, je vais essayer quand même avec un bon apn.

Et voici la suite avec d'autres bobines toujours au PMK Bergger et Rolleiflex SL66E nourri à la TX400 (sensibilité obtenue 250 iso)
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Merci de votre attention (soutenue!
